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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 18:41

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En son temps déjà lointain (1993), « Jurassik Park » de Steven Spielberg fut considéré comme une référence dans le domaine de la science fiction en raison du développement novateur pour l’époque des images de synthèses alliés à une mécatronique sophistiquée.

Adaptant un roman de Michael Crichton, « Jurassik Park » narre l’ouverture sur une ile prêt du Costa Rica d’un parc d’attractions permettant aux visiteurs d’observer des dinosaures ressuscités après la reconstitution de leur code génétique à partir de celui d’un moustique cristallisé depuis le crétacé complété par l’ADN d’une grenouille contemporaine.

L’exploitant, John Hammond (Richard Attenborough) sollicite la visite d’experts en paléo ontologie Alan Grant (Sam Neill) et Ellie Sattler (Laura Dern) aidés d’un mathématicien du chaos excentrique Ian Malcom(Jeff Goldblum) pour valider la sécurité de son parc avant de l’ouvrir au public.

Malheureusement, les agissements d’un informaticien corrompu Denis Nedry (Wayne Knight) provoquent une défaillance des systèmes de protection automatiques et permettent aux dinosaures de prendre leurs libertés.

Alan, Ellie, Ian et les deux enfants d’Hammond se retrouvent donc piégés à l’intérieur du parc avec des dinosaures lâchés dans la nature.

Tout l’intérêt du film repose donc dans la confrontation spectaculaire des monstres préhistoriques et des humains tentant dans un premier temps de sauver leur peau puis de rétablir la situation.

Les scènes chocs abondent autour des deux dinosaures carnivores, le fameux tyrannosaurus Rex (appelé T-Rex) plus grand prédateurs terrestre de l’histoire et les redoutables vélociraptors plus petits mais doués d’une intelligence et d’une férocité supérieures.

Les immenses brachiosaures ont plus un rôle décoratif et ne prennent pas part à l’intrigue.

En conclusion, malgré la faiblesse de son intrigue et son concept de base minimaliste, « Jurassik Park » se déguste comme un bon divertissement à voir éventuellement en famille à l’exception de quelques scènes plus violentes comme la mort de l’informaticien dévoré par un dilophosaure.

Vous l’aurez compris, tout ou presque repose sur les effets spéciaux permettant de donner vie à un vieux rêve de gamin, voir des dinosaures en taille réelle.

On pourra regretter le jeu rachitique des acteurs en particulier Jeff Goldblum dont la présence est bien inutile et la sous exploitation du fabuleux bestiaire du monde des reptiles préhistoriques sans diplodocus ou tricératops, monstres marins ou aériens largement aussi redoutables que les photogéniques prédateurs aux dents acérées.

Compte tenu de l’immense succès public, deux suites virent le jour en 1997 et 2001.

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