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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 12:36

capital_marx.jpg

 

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Toujours dans le registre économique et philosophique, « Le capital, sections 1 et 2 » de Karl Marx se présente comme une des œuvres les plus abouties avec un volumineux ouvrage paru en 1867.

Cet article ne traite modestement que des deux premières sections parues dans la collection Le Monde philosophique chez Flammarion.

La première section est consacrée aux marchandises et à la monnaie.

Marx distingue les valeurs d’usages des marchandises formées de  leurs propriétés physiques qui déterminent leur niveau d’utilité pour l’homme, des valeurs d’échange qui fixent la proportion d’une chose par rapport à une autre lors d’une transaction commerciale.

Fluctuantes suivant le lieu et le temps, les valeurs d’échanges sont la source du commerce.

A force de travail constante, les valeurs d’usage sont fixées par le temps de travail humain nécessaire pour les produire.

Pour étayer ses démonstrations  sur le rapport des choses entre elle, Marx utilisera ensuite de manière permanente l’exemple d’un habit qui vaut selon lui deux fois vingt mètre de toile.

Par ce biais, il établit les définitions de forme relative et de forme équivalente qui permettent de comparer quantitativement les choses entre elles suivant le temps de travail nécessaire à leur production.

Marx réalise l’extension du rapport d’une marchandise à une autre en généralisant à des rapports proportionnels avec d’autres marchandises dans ce qu’il appelle la forme développée pour arriver à la forme générale qui est qu’une quantité de marchandise (ici les vingt mètres de toiles ) sert de référence à toutes les autres.

Cette avancée est primordiale car elle aboutit à la création de la monnaie (or ou argent) base commune pour toute transaction.

La monnaie devient donc le cœur du commerce et fausse les rapports sociaux qui existaient préalablement entre échanges directs de marchandises de producteur à consommateur.

Pour Marx un fétichisme nait de la possession de l’argent et les méthodes de division du travail rendant les hommes dépendants les uns des autres n’ont pour but que l’accroissement des richesses de la classe bourgeoise.

Marx analyse ensuite les mécanismes de circulation des marchandises, dépendant de la valeur des prix, de la valeur de la monnaie fixée par les autorités et de la somme de marchandises produites.

Dans ces échanges, la marchandise vendue est transmutée en argent, avant d’être à nouveau retransformée en marchandise une fois que l’acheteur s’en sert pour acquérir un nouveau bien.

C’est donc la monnaie qui circulant de manière continue qui rythme ce cycle sans fin de transactions.

S’ajoutent ensuite les phénomènes de thésaurisation (accumulation de monnaie) et de crédits qui viennent modifier les mécanismes de circulation monétaire.

Dans la deuxième section, Marx explique le développement du système capitaliste qui consiste à placer de l’argent dans une marchandise tout en espérant en récupère un profit.

Il s’agit donc du mécanisme inverse de l’échange monétaire évoqué précédemment puisque ce n’est plus l’achat d’une marchandise qui conditionne la transaction mais l’accroissement de capital.

Contrairement au thésauriseur qui bloque la circulation de l’argent, le capitaliste en fait circuler en permanence pour accroitre son capital.

Le dernier chapitre arrive logiquement à l’achat et à la vente de la force de travail des prolétaires.

Marx montre en effet que le profit souhaité par l’économie capitaliste ne peut se déclarer que si des individus n’ont que leur force de travail à vendre pour subvenir à leurs besoins essentiels.

Le capitaliste achète en effet la force de travail de l’ouvrier pour accroitre la valeur de ses profits et ainsi s’enrichir.

Bien entendu, le capitaliste a tout intérêt à minimiser le prix de cette force de travail, en veillant à ce que les travailleurs survivent juste assez pour manger, se loger, s’habiller et se reproduire suffisamment pour assurer une nouvelle génération d’outils de production.

Marx en vient donc à ces habituelles idées sur l’aliénation du prolétaire et sa dépendance vis-à-vis du capitaliste qui exploite sa force de travail pour son enrichissement.

En conclusion, issu d‘un travail de fond, « Le capital, sections 1 et 2 » est une bonne introduction à cette œuvre majeure de l’économie politique.

Plutôt arides en raison de leur forte teneur économiste, les deux premières sections partent des racines les plus profondes des échanges humains pour aboutir finalement aux prémisses des théories marxistes.

Marx pose donc ici de puissantes fondations dont on peut percevoir toute la profondeur et la solidité, tout en se doutant que la suite se révélera plus engagée politiquement.
Pa peu Toujours dans le registre économique et philosophique, « Le capital, sections 1 et 2 » de Karl Marx se présente comme une des œuvres les plus abouties avec un volumineux ouvrage paru en 1867.

Cet article ne traite modestement que des deux premières sections parues dans la collection Le Monde philosophique chez Flammarion.

La première section est consacrée aux marchandises et à la monnaie.

Marx distingue les valeurs d’usages des marchandises formées de  leurs propriétés physiques qui déterminent leur niveau d’utilité pour l’homme, des valeurs d’échange qui fixent la proportion d’une chose par rapport à une autre lors d’une transaction commerciale.

Fluctuantes suivant le lieu et le temps, les valeurs d’échanges sont la source du commerce.

A force de travail constante, les valeurs d’usage sont fixées par le temps de travail humain nécessaire pour les produire.

Pour étayer ses démonstrations  sur le rapport des choses entre elle, Marx utilisera ensuite de manière permanente l’exemple d’un habit qui vaut selon lui deux fois vingt mètre de toile.

Par ce biais, il établit les définitions de forme relative et de forme équivalente qui permettent de comparer quantitativement les choses entre elles suivant le temps de travail nécessaire à leur production.

Marx réalise l’extension du rapport d’une marchandise à une autre en généralisant à des rapports proportionnels avec d’autres marchandises dans ce qu’il appelle la forme développée pour arriver à la forme générale qui est qu’une quantité de marchandise (ici les vingt mètres de toiles ) sert de référence à toutes les autres.

Cette avancée est primordiale car elle aboutit à la création de la monnaie (or ou argent) base commune pour toute transaction.

La monnaie devient donc le cœur du commerce et fausse les rapports sociaux qui existaient préalablement entre échanges directs de marchandises de producteur à consommateur.

Pour Marx un fétichisme nait de la possession de l’argent et les méthodes de division du travail rendant les hommes dépendants les uns des autres n’ont pour but que l’accroissement des richesses de la classe bourgeoise.

Marx analyse ensuite les mécanismes de circulation des marchandises, dépendant de la valeur des prix, de la valeur de la monnaie fixée par les autorités et de la somme de marchandises produites.

Dans ces échanges, la marchandise vendue est transmutée en argent, avant d’être à nouveau retransformée en marchandise une fois que l’acheteur s’en sert pour acquérir un nouveau bien.

C’est donc la monnaie qui circulant de manière continue qui rythme ce cycle sans fin de transactions.

S’ajoutent ensuite les phénomènes de thésaurisation (accumulation de monnaie) et de crédits qui viennent modifier les mécanismes de circulation monétaire.

Dans la deuxième section, Marx explique le développement du système capitaliste qui consiste à placer de l’argent dans une marchandise tout en espérant en récupère un profit.

Il s’agit donc du mécanisme inverse de l’échange monétaire évoqué précédemment puisque ce n’est plus l’achat d’une marchandise qui conditionne la transaction mais l’accroissement de capital.

Contrairement au thésauriseur qui bloque la circulation de l’argent, le capitaliste en fait circuler en permanence pour accroitre son capital.

Le dernier chapitre arrive logiquement à l’achat et à la vente de la force de travail des prolétaires.

Marx montre en effet que le profit souhaité par l’économie capitaliste ne peut se déclarer que si des individus n’ont que leur force de travail à vendre pour subvenir à leurs besoins essentiels.

Le capitaliste achète en effet la force de travail de l’ouvrier pour accroitre la valeur de ses profits et ainsi s’enrichir.

Bien entendu, le capitaliste a tout intérêt à minimiser le prix de cette force de travail, en veillant à ce que les travailleurs survivent juste assez pour manger, se loger, s’habiller et se reproduire suffisamment pour assurer une nouvelle génération d’outils de production.

Marx en vient donc à ces habituelles idées sur l’aliénation du prolétaire et sa dépendance vis-à-vis du capitaliste qui exploite sa force de travail pour son enrichissement.

En conclusion, issu d‘un travail de fond, « Le capital, sections 1 et 2 » est une bonne introduction à cette œuvre majeure de l’économie politique.

Plutôt arides en raison de leur forte teneur économiste, les deux premières sections partent des racines les plus profondes des échanges humains pour aboutir finalement aux prémisses des théories marxistes.

Marx pose donc ici de puissantes fondations dont on peut percevoir toute la profondeur et la solidité, tout en se doutant que la suite se révélera plus engagée politiquement.

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 15:35

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Après constaté toute la densité et la complexité de la pensée de Karl Marx dans les « Manuscrits de 1844 », je me suis attaqué logiquement au « Manifeste du parti communiste ».

Publié en 1848 pour le compte de la Ligue des communistes allemands à laquelle appartenait également Friedrich Engels, ce texte assez court se veut un résumé des grandes lignes de la pensée marxiste à destination de tous les ouvriers du monde entier.

L’idée principale du récit est la lutte des classes, qui sous diverses formes à façonné l’histoire de l’humanité pour aboutir à la situation du XIX iéme siècle ou bénéficiant d’un développement faramineux de l’industrie, des transports et du commerce, la bourgeoisie capitaliste règne sur le monde entier en réduisant en servitude d’innombrables cohortes de prolétaires.

Mais Marx considère que la bourgeoisie est à présent incapable de contrôler le monstre qu’elle a enfanté, ce capitalisme vorace qui menace lui-même l’équilibre du monde par ces crises économiques.

Pour le philosophe, ce sont les classes prolétaires toujours plus nombreuses et plus pauvres qui sont porteuses du mouvement salvateur qui libera le monde de l’emprise du système capitaliste.

Marx les incite donc à une union internationale pour briser leur asservissement, prendre leur destin en main, renverser le système capitaliste bourgeois et imposer ses théorie communistes visant à donner le pouvoir aux prolétaires.

Il rappelle donc les dix grands principes du communisme comme l’abolition de la propriété privée et du droit d‘héritage, du commerce, nationalisation des banques, terres et usines, centralisation étatique, éducation publique gratuite.

Marx assoit plus profondément ses idées en démontant les arguments de ses adversaires qu’il accuse de mettre en avant des valeurs hypocrites comme la défense de la liberté, de l‘éducation, du mariage, de la famille pour défendre leurs intérêts purement bourgeois.

Le dernier chapitre consiste en une critique purement littéraires des mouvements socialistes qui ont précédé cette déclaration avec pour Marx des tentatives maladroites de récupération des mouvements prolétaires par les anciens nobles, le clergé, ou les petits bourgeois qu’ils soient allemands, anglais ou français.

La fin de l’ouvrage se termine par un message d’espoir envoyé au ouvriers du monde entier, un encouragement à l’égard des tentatives de révolutions prolétaires qui même si elles ont échoués préparent pour Marx l’avenir à l’avènement prochaine du communisme.

En postface on trouvera quelques notes et commentaires d’Engels pour chaque édition (allemande, anglaise, française, italienne) tout en réactualisant le texte écrit originellement par son ami au regard des événements historiques ultérieurs.
En conclusion, le « Manifeste du parti communiste » se veut être un condensé des théories marxistes, une véritable machine de combat politique destinée à exhorter les mouvements prolétaires du monde entier à s’unifier pour combattre et renverser le capitalisme bourgeois.

Il s’agit donc ni plus ni moins qu’un appel à la révolution avec une œuvre au contenu explosif dont la dangerosité pour les régimes alors en place ne fait à mes yeux aucun doute.

Le résultat sera les révolutions de 1848 qui secouèrent les principaux pays européens de l’Allemagne à la Roumanie en passant par la France, l’Italie et la Pologne.

On pourrait longuement discuter sur le résultat de ces mouvements qui si ils changèrent une bonne partie de la face du monde, ne purent durablement tenir la distance face aux forces capitalistes.

Je ne saurais dire si le communisme est une utopie, je pense que les dérives dictatoriales dont a souffert son application ont terni à jamais son image.

Dans tous les cas le texte du manifeste porte pour moi en lui les germes d’une guerre civile et d’une révolution violente.

Peut être le secret de l’équilibre économique réside t il en un équilibre difficile à atteindre entre communisme radical et capitalisme débridé.

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 19:53

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Vous l’avez constaté depuis quelques mois je me suis plus orienté vers les grands auteurs de la philosophie.

Les « Manuscrits de 1844 » de Karl Marx suivent cette ligne directrice.

Ecrits à Paris en 1932, ils développent les principales idées de Marx concernant l’économie politique.

Dans les deux premiers manuscrits, le philosophe s’intéresse aux notions de capital, d’intérêt et de salaire tout en s’appuyant sur les travaux des économistes Adam Smith, David Ricardo, Jean-Baptiste Say ou Jon Stuart Mill.

Marx décrit l’aliénation de l’ouvrier, dépendant des capitalistes et des propriétaires fonciers pour obtenir un travail et donc un salaire afin de simplement survivre tandis que les deux autres classes ne visent qu’à leur propre enrichissement par le biais des intérêts.

Le processus de division du travail conduit à l’abrutissement des ouvriers obligés de répéter inlassablement des taches les plus élémentaires possibles à des fins de productivité.

Dans ces mécanismes complexes, l’ouvrier est nécessairement dépendant et donc perdant.

Il ne peut espérer gagner qu’en profitant de la concurrence entre capitaliste, qui entraine un enrichissement  général de la société et une plus forte demande en ouvriers.

Mais cette victoire n’est qu’apparente puisqu’ils travaillent plus et écourtent leur durée de vie.

Lorsque la concurrence est trop âpre, les prix chutent et les petits capitalistes font faillite, se faisant absorber par les plus gros qui peuvent arriver à une situation de monopole.

Dans ce cas l’ouvrier est également perdant, puisque les capitalistes ruinés viennent grossir ses rangs, accroissant la concurrence pour une demande de travail beaucoup plus réduite.

Marx explique que les intérêts de capitalistes sont dictés par leur égoïsme et ne vont jamais dans le sens d’une amélioration de la société.

Même les progrès scientifiques et techniques, comme l’usage des forces de la nature ou de machines de plus en plus performante, ne produit pas le progrès social pour le monde ouvrier réduit à sa simple fonction de bête de somme.

Ainsi dans le système capitaliste, l’enrichissement d’un petit nombre contribue à la misère croissante du monde ouvrier, à une aliénation que Marx compare à son degré ultime à la prostitution.
Gouvernés par l’accumulation de richesses, les capitalistes travaillent à faire du profit en améliorant leur processus manufacturiers par mécanisation, division du travail, par acquisition de nouvelles usines ou terres plus fertiles et enfin par la destruction de la concurrence en de violentes guerres commerciales.

Marx distingue les propriétaires terriens des fermiers.

Les propriétaires fonciers sont des vestiges des classes aristocratiques ou le rapport entre le seigneur et ses serfs sont en apparence plus intimes.

Pour Marx, ces seigneurs vivent de rentes, sont paresseux, souvent incapables de faire fructifier leur capital.

Dans un monde en perpétuelle évolution, ils sont condamnés à être dépassés et absorbés par leurs rivaux capitalistes plus industrieux et meilleurs commerçant.

Après cette partie plus économique que philosophique, Marx développe l’aspect philosophique de sa pensée, en décrivant le processus de deshumanisation que subit l’ouvrier qui ne possède plus les objets qu’il produit.

En ce sens, le travail de l’ouvrier lui est extérieur, il le subit par nécessité pour en conséquence n’être réduit qu’à ses fonctions animales, manger, boire, dormir et procréer.

Ayant perdu le contact direct avec la Nature et avec l’activité de production  libre, consciente qui fait sa généricité, l’ouvrier ne produit plus que pour survivre, des objets qui ne lui appartiennent pas.

Marx évoque donc le moyen de sortir de cette aliénation, en abolissant sa cause : la  propriété privée.

Cette idée est reprise dans le troisième manuscrit sans nul doute le plus difficile ou Marx développe sa vision du communisme visant à abolir la propriété privée, le capital et à partager les richesses de manière égalitaire.

Fondé sur la science de la nature étroitement imbriqué avec le développement historique de l‘humanité, le  communisme se voit attribué des composantes humanistes, naturalistes mais aussi athées puisque la religion est également une aliénation de la conscience de l’homme.

Le passage d’une trentaine de pages sur la critique de la logique et de la phénoménologie d’Hegel est très difficile à décrypter quand on n’a pas lu préalablement ce philosophe dont Marx reprend puis critique les théories d’acquisition de connaissances basées sur une dialectique scindé abstraction, négation puis compréhension pour consolider les siennes basées sur le matérialisme et l’athéisme.

La dernière partie des manuscrits reprend la partie plus économiste du travail de Marx avec l’étude des notions de besoins, de commerce et la promotion d’un détachement vis-à-vis du pouvoir de l’argent pour revenir à notre humanité.
En conclusion, les « Manuscrits de 1844 »  sont une œuvre que j’ai trouvé très difficile d’accès et tout particulièrement le passage sur Hegel, abordé sans préalable en parfait kamikaze de la philosophie que je suis parfois.

Bien que n’étant pas porté sur les théories économistes, j’ai trouvé intéressante l’analyse des mécanismes complexes régissant le capitalisme système par essence inégalitaire que certains esprits libéraux et étroits considèrent comme le plus naturel pour l’homme.

Dans ce monde sans morale, la recherche du profit justifie absolument tout et broie implacablement pour quelques privilégiés les couches les plus basses de la population composée au XIX iéme siècle majoritairement du monde ouvrier.

Seul espoir et possibilité d’émancipation pour Marx, la mise en commun des biens, des richesses afin de redonner aux ouvriers leur humanité en lien avec un progrès scientifique basé sur la nature.

Même si aujourd’hui l’effondrement des régimes dit communistes a conduit à un rejet massif et un peu facile des théories marxistes, leur étude demeure très interessante non seulement d’un point de vue historique mais également d’un point de vue plus philosophique au regard d’un capitalisme sauvage dont la voracité risque fort de mener à l’épuisement des ressources naturelles, à la faillite des états et aux inévitables mouvement internes (révolutions) ou externes (guerres) en résultant.

Aujourd’hui le monde ouvrier a fortement disparu en Europe, mais d’autres travailleurs tout aussi voir plus vulnérables sont apparus, commes tous les intérimaires, stagiaires et précaires que les entrerprises recrutent comme main d’œuvre jettable pour réduire leur sacro saints couts.

L’alinéation peut aussi aujourd’hui prendre des formes bureaucratiques ou le travail bien que moins destructif physiquement peut l’etre mentalement.

Ainsi Marx était sans doute un utopiste mais assurément aussi un génie de la pensée.

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